Cellules d’imagerie : Pour assurer le maintien du statut sanitaire des animaux (imagerie TEP, SPECT, TDM et IRM), ils sont manipulés sous PSM2 pour les étapes d’induction de l’anesthésie, l’injection du traceur/agent de contraste puis sont placés dans des cellules d’imagerie adaptées à chaque espèce et à chaque modalité d’imagerie (4 cellules pour l’imagerie nucléaire PET/CT, 4 pour l’IRM). Ces cellules isolent les animaux de l’air ambiant. Elles sont ensuite connectées aux systèmes d’anesthésie et de monitoring des équipements d’imagerie. Les cellules disposent d’un système de maintien de la température combiné à une sonde rectale afin de maintenir les animaux en conditions physiologiques.
Synchronisation cardiaque et/ou respiratoire : Le monitoring permet de surveiller ces paramètres et éventuellement adapter le niveau d’anesthésie (s’il s’agit d’anesthésie gazeuse) mais cela permet de sélectionner les images pour les synchroniser en fonction du cycle cardiaque ou respiratoire, ce qui est indispensable pour l’imagerie cardiaque ou pulmonaire. Des capteurs contenus dans les cellules d’imagerie sont positionnés au niveau des pattes pour la synchronisation cardiaque, coussinet sous le thorax pour la synchronisation respiratoire.
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